L’Association Professionnelle des Chroniqueurs et Informateurs de la Gastronomie et du Vin (APCIG), le Président de l’Association, Jean-Claude Mariani, Patrick Flet, Administrateur, Gérard Bernar, délégué de la région Provence-Côte d’Azur, ont convié les journalistes gastronomiques,
et informateurs du Sud-Est (06) Alpes-Maritimes, à l’occasion de la sortie de l’annuaire 2014 de l’APCIG, au pôle Culturel Auguste Escoffier, ce 17 février à Villeneuve-Loubet.
En la présence du président, Jean-Claude Mariani, de Richard Camou, maire de Villeneuve-Loubet, Vice-Président de la Communauté d’Agglomération Sophia-Antipolis, Michel A. Escoffier, arrière-petit-fils d’Auguste Escoffier, président de la Fondation, Jean-Pierre Rous, Maître Sommelier,
Jean-Claude Mariani – Gérard Bernar – Richard Camou
président de « Slow Food Monaco », la présence de nombreux professionnels de l’hôtellerie et de la restauration, Joël Garault, Chef étoilé de l’Hôtel Hermitage à Monte-Carlo, Mario d’Orio, Chef de cuisine du restaurant 3.14 à Cannes et bien d’autres …
Jean-Pierre Rous Mchel A.Escoffier
Prestige Seafood, Obsiblue, La Cambuse, Pain-Petifour-Groupe Midipain, Neige cidre de glace, Cook and Shoot, Les Champagnes de Vignerons, Foie gras Rougié .
Coup de chapeau pour les deux chefs, Francis Scordel « L’atelier des saveurs » et Alexandre Lamand, « La Bastide Gourmande ».
L’APCIG : 60 ans et pas une ride ! Elle va souffler ses 60 bougies. Aujourd’hui, parmi les 365 journalistes, beaucoup travaillent sur des supports virtuels, d’autres à la télévision, ou à la radio. 285 traitent du vin, 249 des restaurants, 192 rédigent des recettes de cuisine, 241 commentent des produits et 147 écrivent des livres sur le vin ou la gastronomie…
« Les journalistes permanents, attachés à un seul journal, à une radio, ou magazine, deviennent de plus en plus rares. Nos confrères, le plus souvent pigistes, sont devenus peu à peu, des sortes d’intermittents de la presse, obligés de courir de rédaction en rédaction
pour vendre leurs articles … à des tarifs de plus en plus « compétitifs » ! . Face à cette crise économique, dont on a du mal à voir la fin, nous restons confiants, compte tenu de la créativité des cuisiniers et des restaurateurs français, qui arrivent à faire du très bon, même sans caviar, ni truffe ou langouste.
Comme il n’y a pas de bel anniversaire sans gâteau et sans bougies, le Conseil d’Administration de l’APCIG, consacre toute son énergie pour créer un événement digne des 40éme et 50éme anniversaires,
même, si ce n’est pas évident en cette période difficile.
Steve Ghirado, Révolution macaron à Antibes, avait créé pour l’occasion des macarons estampillés du sigle de l’Apcig.
« Mais, comme » là où il y a une volonté, il y a un chemin « , nous avons toutes les raisons de penser que notre 60ème anniversaire sera fêté comme il le mérite ! à commenté le président de l’APCIG, Jean-Claude Mariani.