C’est la première fois dans l’histoire de l’Unesco qu’un chef se voit confier cette mission.
Il représentera désormais l’institution sur les questions de la biodiversité et de l’écologie. Il devra « mobiliser l’intérêt et le soutien du public pour les objectifs et les principes de l’Unesco ».
Depuis 1988, l’Unesco a déjà désigné 98 ambassadeurs de bonne volonté. Il s’agit d’un statut non rémunéré de deux ans renouvelables. Il est donné à une personne « qui représente et vit au quotidien les valeurs de l’Unesco », précise-t-on au sein de l’organisation. Mauro Colagreco » va porter un message, en l’occurrence sur la biodiversité et l’écologie. »
Il sera donc le 99e ambassadeur de l’instance internationale. Une nomination qui intervient dans le cadre de l’ Université de la Terre organisée ces vendredi et samedi à Paris.
Il représentera désormais l’institution sur les questions de la biodiversité et de l’écologie. Il devra « mobiliser l’intérêt et le soutien du public pour les objectifs et les principes de l’Unesco ».
« Je suis très content, très honoré !” réagit Mauro Colagreco
Audrey Azoulay, Directrice générale l’Unesco : « En tant qu’Ambassadeur de bonne volonté, le chef Mauro Colagreco aura pour rôle de promouvoir les actions de l’Organisation en faveur de la biodiversité. Dans le cadre de son mandat pour les sciences, l’Unesco a notamment créé en 1971 le programme ‘L’homme et la biosphère’ qui vise à retrouver un équilibre entre les êtres humains et leur environnement. Il existe aujourd’hui 738 réserves de biosphère de l’Unesco à travers le monde, qui représentent plus d’1,3 millions de km² d’aires protégées.«
Une distinction de plus pour le Chef de 46 ans qui avait vu le Mirazur être désigné comme meilleur restaurant du monde en 2019.